Consommer local et valoriser les régions avec les hôtels greet
Renoncer à un avocat venu du Pérou en hiver, privilégier un artisan régional plutôt qu’une grande surface, opter pour la friperie branchée et délaisser le fast-fashion, découvrir sa région au lieu de s’autoriser un week-end en Europe… Plus on avance dans le temps, plus les Français modifient en profondeur leurs manières de consommer local et de voyager.
Le tourisme est un vecteur primordial du consommer local. Chaque acteur a son rôle à jouer dans la valorisation de son patrimoine et des artisans de sa région. Chez les voyageurs, on parle aujourd’hui de vraies communautés de locavores qui allient le plaisir des bonnes choses à l’utilité environnementale, sociétale et économique. Des envies qui résonnent à merveille avec les valeurs de greet.
C’est simple, on adore mettre en avant les histoires de nos régions ! Il est important de faire vivre les territoires et ceux qui les représentent. C’est la clé d’une hospitalité plus positive et plus durable.
C’est quoi, consommer local ?
Circuit court, locavore, vente directe… toutes ses expressions se sont glissées dans notre quotidien à grande vitesse, laissant parfois peu de temps pour les assimiler. Il est plus facile de les fédérer sous une seule bannière : celle du « consommer local ».
On parle de consommation locale lorsqu’une délimitation géographique d’un rayon maximal de 200 kilomètres existe entre le producteur et le client. Le nombre d’intermédiaires est ainsi réduit à son strict minimum.
Très concrètement, il s’agit d’acheter ses produits (alimentaire, textile, déco…) à proximité de son domicile, profiter de leurs bienfaits pour son corps et soutenir les commerçants de sa région.
Quels sont les avantages d’une consommation locale ?
Pour greet, consommer local et responsable est un geste citoyen à double vocation : soutenir l’économie régionale et aider à préserver l’environnement en réduisant considérablement la logistique et les transports terrestres, aériens ou maritimes.
8 raisons d’adopter le circuit court :
- Pour l’environnement : forcément, un kilo de pommes de terre qui poussent dans le champ voisin demande moins de transport qu’un fruit exotique venu du bout du monde. Il demande aussi moins d’emballage et d’efforts consacrés au packaging. Consommer bio, local et de saison évite d’encourager des démarches non écologiques, comme les serres à tomates qui tournent à plein régime en hiver et tous ces types de productions énergivores.
- Pour votre santé : un smoothie bien frais concocté dans le verger d’à-côté sera meilleur pour la santé que des morceaux congelés ou réfrigérés, acheminés d’un continent à l’autre. Cela dit, il est préférable de vérifier auprès des producteurs locaux qu’ils bannissent l’usage de pesticides et autres produits chimiques dangereux pour la santé.
- Pour préserver l’emploi : en favorisant des enseignes françaises et des petits commerçants, les consommateurs permettent à des talents créatifs de prospérer. Ils libèrent les épaules des artisans de la pression née de la concurrence avec des multinationales. Un acte militant et gratifiant pour tout le monde !
- Pour la dimension humaine : échanger avec un producteur d’AMAP ou un brocanteur a mille fois plus de saveur qu’un « bip » sur une caisse automatique de grande surface.
- Pour le budget : qui dit réduction d’intermédiaires, dit réduction des coûts. Que ce soit en brocantes ou directement chez le producteur, il y est aisé de profiter de la qualité à petits prix.
- Pour la qualité : un mojito avec la menthe du jardin aura toujours un meilleur goût. C’est pareil pour la décoration, le design, les textiles. Les artisans et producteurs mettent tout leur cœur dans leur métier. Et ça se ressent sur la qualité de leur production ! Si c’est un peu plus cher, c’est souvent aussi plus solide et plus responsable. Comme le dit l’adage, « Less is more ».
- Pour les territoires : c’est un effet collatéral, mais positif à grande échelle. Chaque commerçant ou producteur qui prospère est une source d’impôts supplémentaire. Impôts qui sont ensuite injectés dans le financement des infrastructures publiques dont chacun bénéficie. Acheter vos légumes chez l’agriculteur du coin profite peut-être à l’école du village, c’est aussi ça, l’engagement citoyen.
Séjour locavore dans les hôtels greet
La famille greet aime par-dessus tout l’échange. Dans les hôtels, les équipes sont toujours partantes pour faire un tour au marché et recueillir les meilleures adresses des habitants d’une région. Cette passion se retrouve dans le goût savoureux de nos créations culinaires, servies du petit-déjeuner au dîner.
- Au greet Versailles, le kit de préparation de cookies est fabriqué à partir de farine issue du moulin de Versailles.
- Au greet la Rochelle, une multitude d’artisans locaux est mise en avant, dont la ferme de Candé, les ruchers de Cybèle, les brasseurs et la coopérative des vignerons de l’île de Ré.
- Au greet Lille Gare Flandres, l’infusion à froid distribuée dans la réception est composée aux côtés de notre partenaire local, Teatap, une entreprise 100 % française spécialisée dans le thé en vrac (auquel nous rajoutons un délicieux twist anti-gaspi).
- Au greet pont du Gard, la confiture d’abricot est produite à partir de fruits récupérés au sein du verger voisin, tandis que les fromages de chèvre proviennent de la chèvrerie Gueit, à Lussan.
- Au greet Castres, le miel provient des ruchers de Puylaurens et la bière locale, La Berlue, a trouvé une place de choix au sein du bar.
- Au greet paris Nord, les confitures proviennent des producteurs d’Andrésy, le miel est issu des ruches de l’hôtel tandis que les bières sont directement issues de la brasserie de la Goutte d’Or.
- Au greet Beaune, des poules s’assurent de participer avec joie au recyclage des déchets alimentaires.
Au-delà de l’alimentaire
Le circuit court concerne tous les domaines. Avec un peu de recherches, il devient facile de décorer son intérieur ou de se reconstituer une garde-robe stylée en achetant ses produits auprès d’artisans locaux.
Le fast-fashion est mis au placard pour privilégier le best-fashion. Les équipes du greet Marseille supportent les initiatives locales en portant des sneakers conçues à partir de matériaux et de plastiques recyclés. Des univers colorés aux designs déstandardisés naissent un peu partout. Les brocantes locales dévoilent des objets qui sont ressuscités en suivant les idées du guide de l’upcycling. Au sein des hôtels greet, comme au greet Annecy Cran Gevrier, le design et la décoration sont souvent issus des plateformes de seconde main, françaises et reconnues, à l’instar de Selency, Emmaüs, Ressource&Vous ou bazar sans frontières.
Ces adresses do good feel good1 sont devenus de véritables sanctuaires du confort, du style et du terroir local. Preuve irréfutable que l’on peut associer design économique, style et engagement environnemental !
1-qui font du bien